Salut tout le monde, j’espère que vous allez bien, je suis ravie de vous retrouver pour ce nouvel article Créatures et peuples de l’imaginaire, car aujourd’hui, nous allons parler lycanthropie. C’est parti !

Introduction

La lycanthropie est une des nombreuses formes de thérianthropie. De nombreux mythes mettent en scène un humain qui revêt une forme animale, de manière partielle ou totale. De l’antiquité à nos jours, et partout sur le globe, voyons ensemble qui sont ces hommes-loups et quels sont les symboles associés.

Je passe volontairement sous silence la lycanthropie clinique, n’ayant pas les connaissances nécessaires, et préférant me concentrer sur l’aspect fiction.

Le loup-garou à travers le monde

Qui ne connaît pas encore la légende de l’homme courant dans les bois, qui étanche sa soif dans une flaque d’eau au creux d’une empreinte de loup, et qui, à la pleine lune suivante, devient le monstre sanguinaire dont le corps se transforme et se recouvre d’une épaisse toison noire ? Mais bien avant cela, il y avait bien d’autres récits : histoires de tribus mangeuses d’hommes, d’hommes se transformant en loup une fois par an, de divinités punissant leurs fidèles pour leur trahison.

Le mythe greco-romain

Le premier à évoquer des hommes-loups est Hérodote. Les Neuri, une tribu du nord-est de la Scythie, contrées des bords de la mer Noire, étaient selon lui capables de se métamorphoser en loups, par magie et indépendamment d’une malédiction, quelques jours par an, avant de reprendre leur apparence humaine. Des rites apparemment destinés à la terre, et symbolisant la régénération et la renaissance.

Mais le mythe le plus célèbre et qui donna ensuite son nom à la créature, est le récit de Lycaon, fils de Pélasgos et de la nymphe Cyllène (ou de l’Océanide Mélibée selon Apollodore). Selon la version la plus répandue, Lycaon avait cinquante fils, et sacrifiait des prisonniers Molosses (une ethnie contre laquelle ils étaient guerre) pour en consommer la chair. Une injure pour Zeus qui, voulant constater l’ignominie, se rendit à Arcadie sous les traits d’un pauvre hère à la recherche d’un abri. Ayant découvert l’identité du vieil homme, Lycaon offrit un banquet à Zeus, et lui servit de la chair humaine (de la chair d’un enfant, selon certains récits). Zeus reconnut aussitôt ce qu’on lui servait et en prit ombrage, changeant Lycaon en loup et foudroyant ses fils.

D’autres mythes et récits suivirent, avec une récurrence, l’appétit vorace et le comportement sanguinaire la plupart du temps.

Europe du nord et germanique

Il est intéressant de constater que certains mythes du loup-garou parlent de femmes transformées, alors que partout dans le monde, la lycanthropie est plus une caractéristique masculine. Dans l’Edda Poétique, ensemble de poèmes en vieux norrois, on trouve la mention des Vargynjur, des femmes-louves, épouses des Berserkers (hommes-ours la plupart du temps mais pas que), et redoutables guerrières qui s’attaquèrent à Thor après qu’il eut massacré les hommes.

Mais l’un des mythes le plus répandu en Finlande est le vironsusi (dont on retrouve des similitudes dans la série Teen Wolf). Sa transformation est le plus souvent involontaire, parce qu’une sorcière lui a jeté un sort. Il reste loup jusqu’à ce que quelqu’un ou quelque chose le libère de son sort. Il se cache dans les maisons et dévore parfois le bétail, mais s’attaque rarement à des personnes et attend que quelqu’un le reconnaisse. Lorsque cela se produit (par exemple, grâce à la mère du vironsusi), cette personne peut briser le sort en appelant le lycanthrope par son prénom ou en lui donnant du pain à manger. Lorsque le vironsusi a retrouvé sa forme humaine, il garde toujours sa queue de loup jusqu’à sa mort.

Europe de l’ouest

Le wulver était un lycanthrope propre au folklore des îles Shetland, en Écosse. Il est décrit comme un homme couvert d’une fine toison brune mais avec une tête de loup. Contrairement à la majorité des lycanthropes, le wulver n’est pas agressif si on ne l’embête pas. Il passe la majeure partie de son temps assis sur un rocher à pêcher. On raconte qu’il laisse parfois du poisson sur l’appui de fenêtre des familles pauvres.

Dans la légende arthurienne, Mélion se transforme en loup grâce à l’enchantement d’un anneau et demande à sa femme de le toucher ensuite avec une pierre vermeille pour qu’il redevienne un homme. La femme, infidèle, part en Irlande avec un écuyer en laissant son mari prisonnier de son corps de loup. Grâce au roi Arthur, Mélion parvient à redevenir humain.

La légende raconte que Saint Patrick, arrivé en Irlande, aurait fait la curieuse rencontre d’un homme-loup le suppliant d’aider sa femme mourante et de lui apporter les derniers sacrements. On dit que Giraud de Barri, l’historien à l’origine de cette légende avec Saint Patrick, rencontra vers 1182 des loups-garous irlandais qui se métamorphosaient durant la fête de Yule. Ils étaient natifs d’Ossory, et avaient été maudits par Saint Natalis en punition de leur méchanceté.

En France, de nombreuses légendes parlent de lycanthropes de différentes natures, notamment la Bête du Gévaudan, la plus connue, mais aussi la Ganipote, sorte de créature vaguement louve qui sautait sur le dos des voyageurs la nuit et qui les épuisait jusqu’au petit matin.

En Bretagne, le bisclavret est un chevalier qui se transforme en loup pendant trois jours chaque semaine. Il se déshabille entièrement avant de se changer en loup et dissimule ses vêtements sous une pierre creuse. Son épouse lui posant de plus en plus de questions, il finit par lui révéler l’endroit où il cache ses vêtements. Terrorisée, celle-ci le trahit en demandant au baron qui lui fait la cour de voler les vêtements. Le bisclavret ne peut plus retrouver sa forme humaine et réchappe de justesse à une chasse au loup donnée par le roi qui remarque son comportement humain et l’épargne. Un soir, le bisclavret retrouve son ex-épouse et le baron à la cour du roi, il les attaque et arrache le nez de la femme. Le roi qui assistait à toute la scène interroge cette dernière, qui finit par lui révéler où elle a caché les vêtements. Le bisclavret redevient humain et le baron comme l’épouse infidèle sont bannis. Ils ne donnèrent naissance qu’à des enfants sans nez. Ce conte est l’un des rares textes français où la lycanthropie apparaît comme un destin subi plus que comme une dévotion au Diable.

La Bête du Gévaudan n’est pas la seule à faire parler d’elle en Auvergne. En effet, le Dictionnaire rapporte l’histoire d’un chasseur égaré dans les montagnes d’Auvergne vers 1588, qui fut attaqué par un loup énorme. En se défendant, il lui coupa la patte droite. L’animal mutilé s’enfuit en boitant sur trois pattes et le chasseur se rendit dans un château voisin pour demander l’hospitalité au gentilhomme qui l’habitait. En le voyant, celui-ci lui demanda s’il avait fait bonne chasse. Le chasseur voulut tirer la patte qu’il venait de couper au loup de sa gibecière, mais au lieu d’une patte il trouva une main portant à l’un de ses doigts un anneau que le gentilhomme reconnut comme celui de sa femme. Il se rendit auprès d’elle et la trouva blessée, cachant son avant-bras droit. Ce bras n’avait plus de main, on y rajusta celle que le chasseur avait rapportée et elle fut forcée d’avouer que c’était elle qui avait attaqué le chasseur sous la forme d’un loup. Le gentilhomme livra sa compagne à la justice, et elle fut brûlée.

(À vous de réécrire le mythe pour changer cette fin tragique)

Claude Seignolle rapporte qu’en Alsace, on parle encore, dans les campagnes reculées, du gigantesque loup gris fantôme qui hantait les environs de Marlenheim et égorgeait les voyageurs égarés. Si d’aventure des rescapés pouvaient conter leur effroyable rencontre, les gens du terroir ne s’étonnaient pas, car ce pays était autrefois celui du Nideck, où les hommes s’accouplaient avec des louves donnant ainsi le jour à des loups-garous.

La garache, dont le nom est un dérivé féminin de garou, est un être humain, généralement une femme, qui se transforme en loup-garou femelle durant la nuit, pour un temps plus ou moins long en fonction de la gravité d’un crime commis sous sa forme humaine. Elle est mentionnée dans le folklore de Vendée et du Poitou. Les garaches blessées meurent ou retrouvent leur apparence originelle, le moyen le plus sûr de leur redonner forme humaine consiste donc à les blesser en faisant couler leur sang, mais pour les atteindre avec une balle, il faut que l’arme soit chargée avec trois morceaux de pain bénit lors des trois messes de minuit.

Il existe de nombreuses autres légendes locales un peu partout dans toute la France.

Europe de l’est

Le vârcolac est une créature du folklore roumain qui possède différentes formes selon les traditions, il peut-être un lycanthrope ou un Gobelin. Dans certaines versions (notamment au nord-ouest de la Bulgarie), il s’agit d’un démon loup qui avale occasionnellement la Lune et le Soleil, causant ainsi des éclipses comme le fait le loup Fenrir de la mythologie nordique. Ce terme renvoie également à un mage ayant la capacité de se transformer en loup pour se camoufler, que les hommes craignent bien entendu. D’autres légendes le décrivent comme un fantôme, un vampire ou un lycanthrope, sous le nom de vrykolakas.

Les vukodlaks sont issus du folklore serbe et ont l’habitude de se réunir chaque année, pendant les mois d’hiver, pour enlever leurs peaux de loup et les accrocher dans les arbres. Ils attendent alors un autre vukodlak et lui transmettent la peau pour le maudire à son tour et se libérer, car la peau est la source de leur malédiction.

 

Selon la tradition arménienne, certaines femmes coupables de péchés mortels sont condamnées à passer sept ans en forme de louves. Dans l’un de ces contes, une femme condamnée est visitée par un esprit portant une peau de loup qui lui ordonne de la revêtir à son tour. Ce faisant, la jeune femme a une épouvantable envie de chair humaine peu de temps après. Elle fait de son mieux pour lutter contre sa nouvelle nature mais dévore chacun de ses propres enfants, puis les parents des enfants de sa famille, et, enfin, les enfants des étrangers. Lorsqu’elle erre seule la nuit, les portes et les serrures s’ouvrent seules à son approche. Quand arrive le matin, elle revient à sa forme humaine et enlève sa peau de loup.

Dans ces contes, la transformation est généralement involontaire, mais il existe d’autres versions où les femmes peuvent se transformer à volonté.

Le vourdalak, en Russie, est un homme victime de la colère du Diable et puni par une transformation en loup, puis renvoyé parmi les siens qui généralement le reconnaissent et le nourrissent. Contrairement à la plupart des lycanthropes, il n’est pas mauvais de nature et ne s’en prend jamais aux hommes, allant même jusqu’à leur lécher les mains pour leur témoigner son affection. En revanche, sa malédiction fait qu’il ne peut rester longtemps au même endroit et voyage de foyer en foyer puis de village en village.

En Amériques

Les Vikings ont peut-être transmis leurs légendes sur les lycanthropes aux tribus amérindiennes du Nord du continent américain pendant la colonisation viking des Amériques. Chez les Indiens navajo, on retrouve la croyance concernant la peau de loup, comme en Europe. Des sorciers, nommés « skin-walker » (littéralement « peau-marcheur » ou « marcheurs de peaux »), sont mentionnés comme capables de se transformer en l’animal qu’ils souhaitent par magie s’il portent une partie de cet animal. Les chamans amérindiens sont aussi parfois décrits comme capables de se faire habiter par l’esprit du loup. Les Navajos craignaient aussi des sorcières habillées de peaux de loups, nommées les Mai-cob.

Le rougarou hante les marais en Acadie et autour de La Nouvelle-Orléans, éventuellement les champs et forêts des alentours. Selon le mythe le plus courant, le rougarou est humain durant la journée où il fait bien attention de ne pas révéler sa malédiction de crainte d’être tué. La nuit, il se transforme en humanoïde à tête de loup et sa malédiction ne se termine que lorsqu’il verse le sang d’une victime humaine. D’autres contes décrivent le rougarou comme un cavalier sans tête ou comme une sorcière. Dans ces derniers, seule une sorcière peut être à l’origine du rougarou, soit en se transformant elle-même en loup, soit en maudissant quelqu’un.

L’auteur Peter Matthiessen soutient que le rougarou est une légende proche de celle du géant cannibale wendigo. Alors que le wendigo est à craindre, il note que le rougarou est considéré comme sacré et en accord avec mère nature, un peu comme dans les légendes à propos du bigfoot aujourd’hui.

Le loogaroo (lougarou en Haïti) est un lycanthrope des Caraïbes, ayant pris cette apparence à la suite d’un pacte avec le Diable. Il est mentionné dès le XVIe siècle et résulte d’une combinaison des croyances européennes et vaudou. Il peut quitter sa peau avant de chasser ses proies afin d’en offrir le sang au démon. Il a cependant des habitudes compulsives et compte sans cesse les grains de sable sur le sol. Ainsi un moyen de s’en défendre est de laisser un tas de grains de riz sur le pas de sa porte en espérant que le soleil se lève avant qu’il ait fini de les compter. À ce moment-là, il devra retourner dans sa peau sans avoir eu l’occasion d’attaquer quelqu’un. Selon certains contes, on peut retirer la peau de l’arbre afin qu’il ne puisse la retrouver à son retour. C’est un sorcier qui officie avec le prêtre vaudou. Il fait partie de la dualité sociale ordre/désordre qu’il faut assumer par des rites magiques.

Dans les folklores galiciens, portugais et brésiliens, le septième enfant (généralement un garçon né après six filles) est condamné à devenir un lycanthrope. Il s’agit d’un loup gris ou noir de la taille d’un petit cheval, qui chasse la nuit sous la pleine lune, de préférence du bétail plutôt que des personnes. Cette croyance s’est étendue au nord de l’Argentine où les septièmes enfants étaient parfois abandonnés, offerts à l’adoption ou tués, car leurs parents craignaient qu’ils ne deviennent des lobisón (ou luisón). Une loi argentine de 1920 mit un terme aux abandons en précisant que tous les septièmes enfants avaient pour parrain le président.

Le Dogman du Michigan est une créature du folklore du Michigan et des alentours, elle est décrite comme bipède, mesurant de plus de deux mètres avec un torse d’un homme et une tête de chien. Les premiers témoignages remontent à 1887, quand des bûcherons décriront avoir vu cette créature.

Le loup-garou dans la littérature

Le loup-garou est mentionné dans les mythes gréco-romains de l’antiquité, mais il se retrouve par la suite dans de nombreuses œuvres de fiction au moyen-âge, à la renaissance, jusqu’à nos jours. La violence, la bestialité, la malédiction fascinent autant qu’elles effraient.

Jean Giono, dans Un roi sans divertissement, en 1947, parle d’un tueur en série qui sévit en hiver dans un village de montagne en perpétrant ses meurtres à la manière d’un loup. Dès le début du récit, la figure du loup-garou est explicitement évoquée. La même année, Boris Vian raconte, dans Le Loup-garou, la vie d’un loup condamné à se transformer en homme lors des nuits de pleine lune.

En fantasy, J. R. R. Tolkien mentionne ses loups-garous comme des créatures féroces possédées par des esprits terrifiants qui parcouraient le Beleriand durant le Premier Âge. Ils sont au service de Sauron, alors grand lieutenant et le plus terrible des serviteurs de Morgoth, que l’on appelait aussi le Seigneur des loups-garous.

Dans la saga Harry Potter, la question des loups-garous est abordée à partir du troisième tome, dans lequel un professeur de l’école Poudlard, Remus Lupin, en est un, et tente de se faire accepter parmi les humains malgré sa maladie. À partir du tome 5, on entend parler de Fenrir Greyback, le loup-garou qui a provoqué la transformation de Lupin. Greyback, au contraire de Lupin, encourage les loups-garous à vivre hors de la civilisation et à mordre autant d’humains que possible pour se renforcer en tant qu’organisation.

Dans la saga Twilight, de Stephenie Meyer, les loups-garous sont dotés d’une force phénoménale, qui leur permet de se mesurer aux vampires. Ils se transforment à volonté et restent guidés par leur conscience humaine quand ils sont sous cette forme. Ils restent largement plus forts que des humains ordinaires quand ils ont leur forme humaine, et ont de nombreux attributs inédits (transmission de pensée, uniquement entre eux, par exemple). Il s’agit d’Amérindiens quileutes, leurs légendes expliquant leur transformation par les facultés magiques de leurs ancêtres.

Parmi les œuvres fantastique et d’horreur, on trouve des loups-garous dans plusieurs romans de Stephen King : L’Année du loup-garou où les apparitions de la bête coïncident avec les dates du calendrier américain (Independence Day, Thanksgiving), dont est tiré le film Peur Bleue, ainsi que dans Le Talisman.

Laurell K. Hamilton met en scène Anita Blake dans une série de romans où la jeune femme vit dans une Amérique où la population cohabite avec des vampires, des loups-garous, et d’autres monstres qui ont, pour certains, acquis une existence légale.

La série Mercy Thompson et son spin-off Alpha & Omega de Patricia Briggs se déroulent dans un univers où les loup-garous ont fini par révéler leur existence au monde entier. Dans Mercy Thompson, nous suivons Mercy, une changeuse coyotte ayant grandi au sein des loup-garous (elle est la protégée de Bran Cornick, le loup-garou le plus puissant du continent, aussi appelé Marrok, l’Alpha Suprême). Dans Alpha et Omega, nous suivons Charles, le fils de Bran et de sa compagne Anna.

Les loups-garous dans mon roman

Le loup-garou est au cœur de mon roman Esprit de meute, réédité cette année pour Noël.

Cette créature m’a toujours terrifiée autant qu’elle me fascine. J’ai été bercée toute mon enfance par des récits, des contes et des légendes, notamment le Petit Chaperon rouge, mais aussi la Bête du Gévaudan, ou Fenrir dans la mythologie nordique. Le loup est un animal qui m’a terrifiée toute mon enfance, alors que j’ai toujours su qu’il n’est pas un danger pour l’homme, que son rôle est très important pour l’équilibre de l’écosystème. Il m’a d’autant plus fascinée lorsque j’ai compris son mode de fonctionnement, le caractère protecteur dont il fait preuve, la force et le courage qu’il représente en plus de l’amour et de la fraternité. Je crois que ce sont tous ces éléments que j’ai voulu mettre en valeur dans mon roman, en revisitant le mythe du lycanthrope, en lui ajoutant ma touche personnelle.

Mes sources d’inspiration sont nombreuses, comme Teen Wolf (le film des années 80 avec Michael J. Fox, ou la série avec Tyler Posey, dont je me suis inspirée pour créer physiquement le personnage de Malcolm), ou Twilight (et j’assume totalement).

Mais je ne peux pas parler de loup-garou sans évoquer Vampire la Mascarade. Je n’ai pas joué au jeu de rôle, ni au jeu vidéo, mais j’étais joueuse sur un forum rp il y a quelques années, créé par des amis. Sur ce forum j’incarnais Axel, surnommé Night Hammer, le frère aîné dans une famille où régnait la violence. Il participait à des combats clandestins jusqu’au jour où il fit la rencontre d’une vampire du clan Gangrel, les plus sauvages et bestiaux des vampires, apparentés à des animaux, ours, loups etc.

Après bien des années, Axel ne quittait pas mes pensées, et j’ai décidé de lui offrir une nouvelle histoire, inspirée de la première, que je vous laisserai découvrir à la sortie de mon roman.

Je ne vous en dis pas plus sur le lycan dans mon manuscrit, sous peine de trop vous en dévoiler.

Cet article est déjà très long, je vais donc m’arrêter là pour aujourd’hui.

Je vous dis à très bientôt dans un nouvel article, ou une nouvelle vidéo.

Prenez soin de vous. Bybye 🙂